3615 MY LIFE N°06
Ikari Warriors
Ikari Warrior ¤ Elite Systems (1986)
C’est pour prévenir toute forme de déception, voire d’insatisfaction de votre part, bande d’adulescents pixeleux, que je suis heureux de vous proposer cette sixième itération de mes aventures cpcistes.
Ikari Warriors est donc l’un des premiers jeux à avoir rejoint ma ludothèque qui devait, à terme, compter plus de softs dont le titre fusse griffonné sur une étiquette Clairefontaine plutôt qu’imprimé par son éditeur, mais cet aveu, je l’espère, restera entre nous les amis. Par ailleurs, et je m’adresse aux plus fidèles d’entre vous, il est désormais inutile à ce stade de vous donner l’identité de son fournisseur…
Techniquement, c’est pas mal. La fenêtre de jeu certes réduite pour fluidifier le scrolling ne nuit pas au gameplay et les graphismes chatoyants ainsi que les sons clairs de la puce sonore emportent mon adhésion. Comme cela se révélera une habitude par la suite, et principalement pour des jeux d’action, mon esprit va produire, au fur et à mesure du déroulement de la partie, divers petits bouts de scenarii, lesquels, une fois mis bouts à bouts, formeront un récit plus ou moins cohérent.
3. Cette étape pourrait s’apparenter à un mini-jeu, car au lieu de foncer droit vers ce char tel un tankiste russe en pleine bataille de Koursk, je m’amuse à rester sur ma ligne horizontale pour lui lancer des obus sans chercher à l’atteindre, ce dernier agissant de même, et c’est un chouette duel qui débute et pour en sortir vainqueur, il me faudra prendre en compte plusieurs paramètres tels la fréquence des tirs, leur portée et la vitesse du blindé. La disquette n’a beau n’être qu’une copie, j’ai pris l’habitude de saisir tout divertissement supplémentaire.
Roberto Carangelo
Une bien belle et précieuse interview
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Commentaire 2 cvbcvb