Vous avez été, pendant de nombreuses années, le bras droit de Marion Vannier chez Amstrad. Nous vous connaissons un peu grâce à l’interview de Mme Vannier réalisé par nos soins en 2011, ainsi qu’avec le livre de François Quentin.– En premier lieu, pouvez-vous nous parler de votre parcours professionnel ?
Je quitte l’Algérie à l’indépendance en 1962. De 1962 à 1968, j’exerce divers petits boulots et je suis musicien dans différents orchestres.
En 1968, je suis engagé chez COGEL, une société d’électronique dirigée par un ami d’Alger. Cogel vend des chaînes stéréophoniques et importe pas mal de marques étrangères dont AMSTRAD qui fabrique du matériel Hi-Fi. En mai 1982, Cogel cesse son activité. La société est alors cédée à la firme Irlandaise “WALTHAM”.
Le patron d’Amstrad, Alan Sugar, demande à Marion Vannier alors directrice générale de Cogel, d’ouvrir un bureau à Paris pour vendre ses chaînes. Marion me demande alors de travailler avec elle, ce que j’accepte immédiatement.
J’avais 45 ans et j’étais sans travail. J’avais une entière confiance en Marion Vannier (je me suis toujours très bien accordé avec elle). En 1984, Amstrad se lance dans la fabrication de micro-ordinateurs (CPC 464, puis 6128, etc.) et c’est la progression fulgurante d’AMSTRAD FRANCE.
De deux personnes, nous passons à plus de 40. Bien entendu, Marion me donne à ce moment-là pas mal de responsabilité, ce dont je suis très fier. J’ai de bons contacts avec tout le personnel et je pense être très proche de mes collègues.
Une bien belle et précieuse interview
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