Voici quelques info insolites sur Mr Sugar et sa société.

Alan Sugar :
Alan Sugar a fait fortune dans les micros…
– Sa villa de Floride ou il passe ses vacances de Pâques chaque année ce trouve à Boca Raton, à quelques km du centre de recherches IBM qui a mis au point le … PC
– Sugar a failli mourir dans les années 70 après avoir eu son brevet de pilote: il avait un petit avion privé et c craché. dés lors il évite car sa femme a trop peur.
– sa mère s’appelle APPLE Fay. Elle a eu Alan a 38 ans et elle voulait plus de gosses. or en 1947, on avortait pas donc c’était l’enfant inattendu et ça les embêtait bien car ils n’avaient pas de tunes. Il a même fini par embaucher son père chez amstrad pour qu’il ai un job cool !
– Alan sugar adore les sandwichs au fromage français
– Au mariage de ces parents, tout le monde se marrait.
Non de famille de la mère = Apple
Nom du père = SugarApple + Sugar = Pomme + sucre
 
– Discours qu’a tenu Sugar devant Roland Perry et les autres quand il les a rencontré pour la première fois… mortel ! :
« Voyez-vous, j’ai acheté quelques ordinateurs avant d’entamer mon projet…
Franchement, c’est de la merde ! Non pas dans ce qu’ils peuvent faire, ca je ne sais pas. Mais quand je vends un système Hi-Fi, il ne faut pas deux heures pour le brancher. Avec ces Sinclair, ces Commodore, ces Oric, c’est chiant comme pas possible.
On ne sait jamais quel fil il faut brancher, on se mélange les pinceaux avec les moniteurs, les téléviseurs, les alimentations, les lecteurs de K7 ; des fils, encore des fils, qui ne sont jamais les mêmes ; vous, vous étés des mordus de l’informatique ; vous voulez vous en servir et vous savez brancher les fils qu’il faut, où il faut ; imaginez ceux qui achètent un ordinateur et qui n’ont pas « un copain », une connaissance pour les aider…
C’est la galère totale. Ce que je veux vendre, c’est un ordinateur que l’Anglais moyen pourra utiliser dans les cinq minute de son achat. Cela veut dire :
– moniteur fourni
– cassette intégrée
– quand on allume, il y a un message a écran »
 

 
Marion Vannier :
– Surnoms de Marion vannier dans Amstrad France : « maman », « la panthère rose »…

– Quand elle reçu le titre de femme d’affaire de l’année en 88, certains dans la filiale française ont changé cela en « ménagère de l’année »
 

 
Le CPC :
–  Lors de la présentation du CPC464 a la presse, les journalistes ont demandé si la machine serait dans les délais dans les magasins et William Poel (qui quittera Amstrad en 1986…) a dit :
si les premiers Amstrad ne sont pas livrés avant la fin du mois de juin, je m’engage à manger un CPC 464 sur Trafalgar Square »… La phrase texto a été reproduite dans la presse.
– On dit souvent que le vrai surnom du CPC464 c’est Arnold… mais en fait y’a un autre nom de code qui n’était connu que de Mark Erik Jones, William Poel, Roland Perry, Richard Clayton, Mike Scase, Chris Hall… C’était :
IDIOT (It Does It On Tape = Ca marche avec des cassettes) !!!
 
– lors de la présentation du CPC a la presse et aux investisseurs, l’agence de communication Mickael Joyce Consultants avait trouvée une idée terrible. Dans l’annuaire ils avaient trouvé 5 personnes qui s’appelaient Mr Archimedes, Mr Monet, Mr Shakespeare, Mr Ravel et mr Einstein :
– Ravel a présenté sur CPC un programme musical,
– Monet a montré les capacités graphiques,
– Shakespeare a écrit une pièce de théâtre avec un traitement de texte,
– Archimedes et Einstein ont fait des calculs…
– La ROM du CPC était prête le 21 janvier 1984… Le 23 janvier Richard Clayton a appelé Roland Perry qui était à Brentwood pour lui signaler… un bug dans la ROM ! sugar c fait expliqué le problème et on a décidé de prévenir dans le guide du firmware plutôt que de rechanger la rom. c un bug qui concerne une commande de mouvement relatif.
– Les 50 prototypes ont été envoyé aux maisons d’édition de logiciels pour qu’il existe un minimum de programmes a la sortie du CPC, leur moniteur était des téléviseurs Amstrad modifiés. ces machines étaient transportés par deux personnes d’Amstrad nommées Sally et Gill. Leur surnom dans la société était les « Amstrad Angels ».
– Le cpc a failli être distribué en France et en Europe par oric France… mais Vannier a fait le forcing et a obtenu le droit pour amstrad France de vendre les cpc
 


 

La société Amstrad :

– Amstrad était surnommé par IBM « la société d’informatique qui lave plus blanc que blanc »

– Amstrad avait failli a l’époque de l’épopée du 1512 racheté la division « blanc » (comme frigo, machine a laver) d’une société anglaise mais sugar a vu que les marges seraient trop petites donc il a laissé tomber, sinon tu aurais chez toi un frigo Amstrad !
– Le neuvième étage de l’immeuble d’Amstrad a Brentwood :
« il est d’un seul tenant, pas de murs, tous les bureaux se font face les uns les autres. Lorsqu’on pénètre dans cette ruche bourdonnante, seul le fait qu’Alan Sugar dispose d’un fauteuil Henri VIII remanié Victoria permet de le distinguer au sein de ses collaborateurs. Le télécopieur débite ses kms de facsimilé 24h/24″
 
– En 1989… amstrad a eu un problème avec les DD des PC286et 386 et n’a pas produit assez d’ordinateur car il y avait également pénurie de ram. Les bénéfices ont chuté (sugar a parlé d’année du désastre). Les actions Amstrad ont fortement chuté : sa fortune est passé de 5 milliards de francs a 1.4 milliard en 8 heures.
– Quand amstrad a sorti le PCW il y aurait du en avoir deux : le 8256 qu’on connaît et un autre qui avait un mode CPC pour jouer au jeu mais Amstrad a pas eu le temps de finir!
– En 81, Alan envoie Stan Randall créer Amstrad International a Hong Kong pour acheter la bas les composants moins chers… En fait il a choisi Randall par compassion car celui ci était en plein divorce. Il lui a dit qu’il voulait l’aider en tant qu’ami et pour lui changer les idées l’a envoyé 10 ans la bas ou randall a épousé une asiatique et vit heureux depuis.
– Deux ingénieurs engagés par sugar travaillait sur le projet cpc dés 1983. au début de l’été 83 ils se rendent compte qu’ils n’y arrivent pas alors l’un des deux se barre dans le Lake District. Amstrad contacte R. Perry et celui ci rencontre dans un pub anglais le second ingénieur. Ce dernier vient avec son fils de 13 ans et plus ils discutent de la machine, plus perry découvre que la majorité de la machine a été faite par l’enfant. Voyant que ce qu’ils ont fait ne vaut rien, il décide de contacter Locomotive Software puis Mej Electronics pour les circuits…