RESULTAT DU TEST

Graphisme : 75%
Son : 50%
Animation : 100%
Difficulté : 75%
Richesse : 100%
Scénario : 100%
Ergonomie : 75%
Notice : —
Longévité : 75%
Rhaa/Lovely : 100%

85%

PRESENTATION

ET EN AVANT L’ AVENTURE …

En 1989, en pleine sortie au cinéma du troisième volet de la saga Indiana Jones, Firebird et Core Disign ont l’excellente idée de nous pondre un jeu nous mettant dans la peau d’un… archéologue-aventurier bien sûr, j’ai nommé : RICK DANGEROUS.

 

 

L’HISTOIRE

Et quoi de plus naturel que de sillonner les pays et les civilisations à la quête de trésors et de joyaux pour le compte du British Muséum, et ça tombe bien, c’est le job de RICK DANGEROUS !

LE JEU

Afin d’incarner au mieux cet archéologue aventurier les concepteurs de RICK DANGEROUS ont choisi le style jeux de plate-formes.
Mais attention ! Ici il faudra user d’ingéniosité pour parvenir à la fin des quatre niveaux qui composent ce jeu : En effet plus que votre dextérité a tirer inlassablement sur le bouton « fire » de votre joystick, c’est aussi à votre habileté à délivrer les prisonniers, trouver les passages secrets, les boutons cachés qui relèvent les grillent ou encore le tonneau qui débloquera le passage… Bref autant de pièges à déjouer, qui vous donneront un max de fil à retordre pour arriver a la fin de ce jeux.
Le Jeu est composé de quatre niveaux à la difficulté croissante :
La Jungle, avec sa faune hostile, peuplés de guerriers zoulous prêts à tout moment à vous tuer.
L’Egypte , ses pharaons, ses momies et ses pyramides aux passages secrets étranges et mystérieux.
Le Château SS , gardé par ses soldats et leurs chiens.
La Base Militaire Spatiale , ses gardes, ses fusées et ses missiles à désamorcer.

Donc 4 mondes bien différents pour nous plonger dans quatre atmosphères différentes. Sous les traits de Rick Dangerous qui répond au quart de tour : on avance, on saute, on tire, on pose des bombes, on débloque des passages, on lève des grilles et tout ça dans une animation très fluide, même si on note un léger ralentissement lorsque plusieurs sprites sont à l’écran.
Les graphismes du jeu ne sont pas en reste : des couleurs de partout et des détails fins (même pour du mode 0 !!!) très clairs et précis.
Pas de musique mais des bruitages corrects, même si ils ne sont pas nombreux, sont efficaces et suffisent à vous plonger dans l’ambiance.

 

CONCLUSION

Bref, une réalisation plus que soignée pour ce qui est a mon goût un des meilleurs jeux de plate-formse sur CPC même si une musique d’accompagnement aurait été la bien venue.

Petit bémol également sur un scrolling « par tableau » et recommencement en début de tableau lorsque on perd une vie un peu (trop ?) frustrant.

La difficulté assez bien dosée lui assure une bonne longévité même si le dernier niveau se révèle bizarrement beaucoup plus facile que les trois premiers ( ???).

Petite critique aussi à la fin du jeu ou se trouve face un « G A M E O V E R » vert sur fond noir pour unique happy end.

Mais le jeu a su rester une référence dans son style, détrôné quelques années plus tard par… RICK DANGEROUS 2 qui a su corriger quelques uns des ses petits défauts.

Envie de jouer les Indy ? C’est de l’action qu’il vous faut ? De l’humour aussi ? Bah alors !!! Qu’est ce que vous attendez ? Filez jouer à RICK DANGEROUS !!!

PS : la première capture d’écran est une création perso car dans le jeu original il n’y avait pas d’écran de présent’ dans la version CPC . Elle est bien sure inspirée de la version AMIGA.

QUELQUES COPIES D’ECRANS

 

Test réalisé par NiNxPe